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AMUSANT


Intelligence inutile

Un monsieur, un peu niais voit un jour une petite annonce dans le journal : "Pour une somme raisonnable, venez augmenter votre intelligence chez le professeur Maestro."

Ravi de cette opportunité, il se rend sur le champ chez le professeur et débourse la somme demandée. Le professeur le fait monter dans sa machine et lui demande : "Quel niveau d'intelligence souhaiteriez-

vous atteindre?

 - Le niveau maximal ! Je veux être vraiment très intelligent !"Le professeur s'exécute, ferme la porte de l'engin, tourne le bouton au maximum et met la machine en marche. Elle commence à ronronner et à clignoter. Au bout de cinq minutes, tout s'arrête et le professeur fait sortir son client. Celui-ci est ravi et s'en retourne chez lui.

Quelques jours plus tard, le client revient, absolument désespéré. "Professeur, s'il vous plaît, aidez-moi ! Maintenant que je suis intelligent, j'ai compris que mes amis me volent, que les humains sont des prédateurs, que la morale n’est qu’un vernis et  que tout n'est que bêtise et laideur sur cette Terre ! Rendez-moi à nouveau bête, que je puisse reprendre le cours de mon ancienne vie..."

Le professeur le fait remonter dans sa machine, tourne le bouton dans l'autre sens, mais tout à coup la machine s'emballe et le bouton reste bloqué tout en bas. S'en suit un vacarme impitoyable et beaucoup de fumée.

"Mon Dieu, qu'ai-je fait ? J'ai dû créer un monstre ?"

Quand tout s'arrête, il court ouvrir la porte de l'engin au pauvre homme à l'intérieur. Mais ce dernier n'a pas l'air d'aller si mal. Il sort de la machine, en fait le tour, et s'adresse au professeur d'un ton sévère : " Police ! Vos papiers, s'il-vous-plaît !".



Le Pape et son chauffeur

Après  avoir  rangé  les  bagages  du  Pape  dans  le  coffre de  la  limousine,  le  chauffeur  réalise  que  le  Pape  est resté sur  le  trottoir.
– Excusez-moi,  Votre  Sainteté », dit  le  chauffeur. « Voudriez-vous, je  vous  prie,  vous  asseoir  pour  que  nous  puissions  partir ?
– Pour  vous  dire  la  vérité,  dit  le  Pape,  ils  ne  veulent  pas me laisser  conduire  au  Vatican,  et  j’aimerais  beaucoup  pouvoir  le  faire  aujourd’hui.
– Je  suis  désolé,  mais  je  ne  peux  pas  vous  laisser  faire  cela. Je  perdrais  mon  job !  Et  que  faire  s’il  arrive  quelque  chose ?, proteste  le  chauffeur, qui  aurait  aimé  être  ailleurs  ce  matin  là.
– Je  ferai  quelque  chose  de  spécial  pour  vous, dit le Pape.
De  mauvaise  grâce,  le  chauffeur passe à  l’arrière et  le Pape s’installe  derrière  le  volant. Très  vite  le  chauffeur  regrette  sa  décision,  quand  après  avoir  quitté  l’aéroport,  le  souverain  pontife  met  la  pédale  au  plancher  accélérant  jusqu’à  140 km/h.
– Je  vous  en  supplie,  votre  Sainteté,  ralentissez !, implore  le  chauffeur  très  inquiet. Mais  le  Pape  continue  jusqu’à  ce  que  les  sirènes de  police  retentissent.
– Je  vais  perdre  mon  permis, s’écrie  le  chauffeur.
Le  Pape  se  range  sur  le  coté  et  baisse  sa  vitre quand  le  policier  s’approche. Dès que celui-ci  voit  le  Pape, il  retourne  à  sa  moto,  ouvre  sa  radio  et  dit  à  son  chef qu’il  a  arrêté  une  limousine  roulant  à  140 km/h.
– Où  est  le  problème ?   Bouclez-le !, dit  le chef de police.
– Je  ne  pense  pas  qu’on  puisse  faire  ça,  c’est  quelqu’un  de  très  important, dit  le  policier.
Le  chef  s’exclame : « Il  n’y  a  pas  de  raison ! »
-« Non,  je  veux  dire  réellement  important, dit  le  policier.
Le  chef  demande  alors : « Qui  avez-vous  coincé ? Le  maire ? »
Le  policier : « Plus  gros. »
Le  chef : « Un  sénateur ? »
Le  policier : « Beaucoup  PLUS  GROS. »
Le  chef : « Bien !  Dites-moi  qui  c’est ! »
Le  policier : « Je  pense  que  c’est  Dieu  lui-même ! »
Le  chef : « Vous  vous  moquez de moi ?  Qu’est-ce  qui  vous  fait  croire  que  c’est  Dieu ? »
Le  policier : « Il  a  le  Pape  comme  chauffeur ! »

 

 

 

Petite histoire du « fake »

Le phénomène des trolls sur Internet remonte aux premiers forums et chats en ligne des années 90. Les trolls, souvent motivés par le désir de provoquer ou de perturber, utilisaient des messages incendiaires pour déclencher des conflits. À la même époque, les premiers bots faisaient leur apparition. Programmés pour effectuer des tâches automatisées, les bots servaient initialement des fonctions bénignes, comme modérer des discussions ou fournir des réponses automatiques.

Les fake news (fausses nouvelles) ont toujours existé, mais leur propagation a explosé avec l'avènement des réseaux sociaux. Au début des années 2010, des sites comme Facebook et Twitter sont devenus des plateformes de choix pour la diffusion rapide de fausses informations. Les fake news sont souvent conçues pour attirer l'attention et provoquer des réactions émotionnelles fortes, rendant leur propagation plus virale.

Les fake news peuvent être motivées par divers objectifs : influence politique, gains financiers, ou simple désir de tromper. Par exemple, durant l'élection présidentielle américaine de 2016, de nombreuses fake news ont été diffusées pour influencer l'opinion publique et désorienter les électeurs.

Les bots, quant à eux, ont évolué pour devenir des outils puissants de manipulation de l'information. Des armées de bots peuvent générer et amplifier du contenu, créant une illusion de consensus ou de controverse. Ils peuvent inonder les réseaux sociaux de messages soutenant une position particulière ou attaquant des opposants, influençant ainsi les perceptions et opinions publiques.

Les deep fakes représentent la dernière avancée technologique en matière de désinformation. Utilisant l'intelligence artificielle pour créer des vidéos et des enregistrements audio hyperréalistes de personnes disant ou faisant des choses qu'elles n'ont jamais dites ou faites, les deep fakes constituent une menace sérieuse. Ils peuvent être utilisés pour discréditer des personnalités publiques, manipuler l'opinion publique, ou créer de fausses preuves dans des contextes judiciaires ou politiques.

L'impact de ces technologies sur les élections est considérable. Des campagnes de désinformation bien orchestrées peuvent changer le cours d'une élection en semant la confusion, en divisant les électeurs ou en détournant l'attention des véritables enjeux. Les trolls et bots peuvent inonder les plateformes de discours polarisants, tandis que les deep fakes peuvent discréditer des candidats en un clin d'œil.

Au fil des ans, les méthodes de manipulation en ligne sont devenues de plus en plus sophistiquées. Les acteurs malveillants utilisent des techniques de ciblage psychographique pour diffuser des messages personnalisés aux utilisateurs les plus vulnérables. Les algorithmes des réseaux sociaux, conçus pour maximiser l'engagement, favorisent souvent la diffusion de contenu sensationnaliste ou polarisant, exacerbant ainsi les divisions sociales et politiques.

Face à ces menaces, diverses mesures ont été mises en place. Les plateformes de médias sociaux investissent dans des technologies de détection de fake news et de bots. Les gouvernements et les organisations non gouvernementales (ONG) sensibilisent le public aux dangers de la désinformation. Des législations sont également en cours d'élaboration pour réguler l'utilisation des technologies de deep fake et renforcer la transparence des sources d'information. 

L'emprise du faux sur les consciences est un phénomène complexe et évolutif. La lutte contre la désinformation et la manipulation requiert une vigilance constante, une éducation aux médias renforcée et des efforts collaboratifs entre les plateformes technologiques, les gouvernements et la société civile.

 

 

AMUSANT: Marchandage


- Bonjour, dit un homme en entrant dans une petite boutique de vêtements. Je viens chez vous parce que j'ai horreur de marchander

- Alors, répond le commerçant, vous ne pouvez pas tomber mieux. Qu'est-ce qui vous tente, chez nous ?

- Ce jean. Combien vaut-il ?

- Il est affiché à 290 DH., mais je ne vais pas vous en réclamer 270 DH, ni même 250... A titre amical, je vous le laisse à 220 !

- Votre manière de faire des affaires me plaît ! C'est pourquoi je ne m'abaisserai pas à vous offrir seulement 160, ni même 180, Si vous me le faites à 200, je le prends.

- Disons 210 et n'en parlons plus !

- Marché conclu !

Et ce que c'est agréable, à notre époque, de pouvoir faire ses achats sans être obligé de tout marchander

Sauvé de Microsoft!

Désespéré de ne trouver aucun travail, un chômeur accepte de se rendre à un entretien d’embauche pour un poste de nettoyeur des toilettes chez Microsoft-Europe. Le DRH lui fait passer un entretien, puis de nombreux tests et lui dit :

 - Félicitations : vous êtes engagé ! Donnez-moi votre email et je vous enverrai le formulaire à remplir, ainsi que la date et l’heure auxquelles vous devrez vous présenter pour commencer votre travail. L’homme, désespéré, répond qu’il ne possède pas d’ordinateur, et encore moins d’email. Stupéfait, le DRH de Microsoft lui répond que s’il n’a pas d’email, cela signifie que, virtuellement, il n’existe pas. Il ne peut pas embaucher quelqu’un qui n’existe pas. Le moral de notre homme est au plus bas. Il n’a plus rien en poche. Il rentre chez lui et constate qu’il n’a rien à manger, à part quelques tomates dans son frigidaire. Ayant une immense envie de hamburger, il prend ses tomates, les lave soigneusement, puis fait du porte à-porte pour les vendre. Cela fonctionne si bien qu’il fonce au supermarché, rachète des tomates et les vend à nouveau en porte-à-porte. Il répète l’opération toute la soirée et revient chez lui avec plus de 100 euros. Il réalise alors qu’il pourrait survivre de cette manière. Chaque jour, il part de chez lui très tôt et vend ses tomates dans sa rue, puis dans son quartier, puis dans la ville entière, se formant une clientèle d’habitués fidèles. Peu de temps après, il s’équipe d’un camion de livraison, puis acquiert progressivement une petite flotte de véhicules et se met à embaucher des chauffeurs. Quatre ans plus tard, l’homme est propriétaire d’une des plus grandes sociétés de distribution alimentaire d’Europe. Il pense alors au futur de sa famille, et décide de prendre une assurance vie. Il appelle un assureur, le rencontre et choisit son contrat. Quand la conversation se termine, l’assureur lui demande son email pour lui envoyer la proposition. L’homme répond qu’il n’a pas d’email.

 - Incroyable ! lui dit l’assureur. Vous n’avez pas d’email et vous êtes arrivé à construire cet empire ! Imaginez ce que à quoi vous seriez arrivé si vous aviez un email ! L’homme réfléchit un instant, puis répond :

 - Je serais en train de nettoyer les toilettes chez Microsoft !

 

 

Logique d'avocat

 

Suite à des recherches, un organisme de bienfaisance local s'est rendu compte qu'il n'avait jamais reçu de don de l'avocat le plus prospère de la ville.

Un bénévole rend donc visite à l'avocat pour en connaître la raison.

L'avocat réfléchit une minute et dit : « Premièrement, vos recherches ont-elles démontrées que ma mère est en train de mourir après une longue maladie douloureuse, et qu'elle a des factures médicales qui dépassent de loin sa capacité de payer ? »

Gêné, le représentant marmonne : « Euh... Non, je ne le savais pas. »

« Deuxièmement », dit l'avocat, « saviez-vous que mon frère, un vétéran handicapé, est aveugle et confiné à un fauteuil roulant et est incapable de subvenir aux besoins de sa femme et de ses six enfants? » 

Le représentant commence à balbutier des excuses, mais est à nouveau coupé.

« Troisièmement, vos recherches ont-elles aussi démontrées que le mari de ma sœur est décédé dans un terrible accident de voiture, la laissant sans le sou avec une hypothèque et trois enfants à charge ? »

Le représentant humilié, complètement abasourdi, dit: «Je suis vraiment désolé. Je n'en avais aucune idée. »

Et l'avocat réplique : « Donc, si je ne leur ai pas donné d'argent, qu'est-ce qui vous fait croire que je vous en donnerais à vous ? »



                                   

                                       

AMUSANT: Une histoire (supposément) vraie, mais amusante

Un avocat de Charlotteville (Caroline du Nord États-Unis ) avait acheté une boîte de 24 cigares très rares et très chers et les a ensuite assurés contre le feu entre autres.

Dans le mois qui suivit, ayant consommé son entière réserve de cigares et n'ayant pas encore effectué le premier paiement de sa police d'assurance, l'avocat envoya une réclamation à sa compagnie d'assurance. Dans sa réclamation, l'avocat indiqua que les cigares avaient été perdus "dans une série de petits incendies".

La compagnie d'assurance refusa de payer en citant la raison évidente : que l'homme avait consommé les cigares de façon normale.

L'avocat intenta une poursuite... ET LA GAGNA!

En délivrant son verdict le juge fut d'accord avec la compagnie d'assurance que la réclamation était de nature tout à fait frivole. Le juge indiqua cependant que l'avocat détenait une police de la compagnie qui garantissait que les cigares étaient assurés et que ces derniers étaient absolument protégés contre le feu sans définir ce qui constituait un incendie "acceptable". Le juge déclara donc la compagnie dans l'obligation de rembourser l'avocat.

Au lieu d'avoir à endurer des procédures d'appel longues et coûteuses, la compagnie d'assurance accepta le jugement et paya donc 15000 dollars à l'avocat pour sa perte de ses précieux cigares dû aux regrettables "incendies".

MAINTENANT POUR LA MEILLEURE PARTIE...

Une fois que l'avocat eut encaissé le chèque, la compagnie d'assurance le fit arrêter pour 24 chefs d'accusation D'INCENDIES CRIMINELS!!!

Avec sa propre réclamation d'assurance ainsi que son témoignage du procès utilisés contre lui, l'avocat fut accusé d'avoir volontairement incendié une propriété assurée afin de toucher le montant d'assurance. Il fut condamné à 24 mois de prison ainsi qu'à une amende de 24 000 dollars.



AMUSANT: WIFI


Dans le cadre de fouilles dans le sous-sol russe jusqu'à 100m de profondeur, les scientifiques russes ont trouvé des vestiges de fil de cuivre qui dataient d'environ 1000 ans.

Les Russes en ont conclu que leurs ancêtres disposaient déjà il y a 1000 ans d'un réseau de fil de cuivre.

Les Américains, pour faire bonne mesure, ont également procédé à des fouilles dans leur sous-sol jusqu'à une profondeur de 2000m.

Ils y ont trouvé des restes de fibre de verre. Il s'est avéré qu'elles avaient environ 2000 ans.
Les Américains en ont conclu que leurs ancêtres disposaient déjà il y a 2000 ans d'un réseau de fibre de verre numérique. Et cela, 1000 ans avant les Russes!

Une semaine plus tard, en Belgique  publie le communiqué suivant : "Suite à des fouilles dans le sous-sol belge jusqu'à une profondeur de 5000m les scientifiques belges n'ont rien trouvé du tout. Ils en concluent que les Anciens Belges disposaient déjà il y a 5000 ans d'un réseau Wifi.

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